Librement inspirées de la forêt du massif de Fontainebleau, les forêts sont l’écho de la série précédente des cascades.
L’immobilisme, l’aspect de lourdeur des roches impriment l’idée d’enracinement à la matière. Le conducteur dynamique est essentiellement représenté par la sinuosité des arbres. Les chemins répondent à une césure ou à une logique de prolongation.
L’intemporalité liée à la régénération végétative échappe aux saisons. La présence de l’homme est sous-tendue au regard du spectateur, confrontation aux mondes végétal, minéral et animal omniprésent.